Article publié le vendredi 28 septembre 2018 sur le site web www.RTBF.be
« Privatisation », « commercialisation », « marchandisation », « dynamisation »… les termes ne manquent pour décrire le changement d’approche du collège anversois en matière de politique sociale à Anvers. C’est d’ailleurs la première ville en Belgique à ouvrir des projets sociaux à des sociétés à but lucratif.
Jeudi 27 septembre, 19h50, Anvers. Une trentaine de militants de l’opposition se rassemblent devant le bâtiment du CPAS, ils sont munis de pancartes « Le travail social n’est pas à vendre ». Ils attendent pour rentrer au Conseil du CPAS. Ils viennent surtout pour un point à l’ordre du jour : le CPAS va-t-il faire appel à des sociétés privées pour s’occuper de la médiation de dettes des allocataires sociaux ? (Lire l’article dans son intégralité sur le site web RTBF.be)