Cette étude, commanditée par la Commission communautaire commune de la Région de Bruxelles-Capitale, a été menée par l’Unité de Recherche en Ingénierie et Action Sociales de la Haute-Ecole PH Spaak.
En Belgique, l’action psycho-médico-socio-culturelle n’est guère organisée de manière centralisée. Les compétences qui y sont liées sont réparties entre différents niveaux de pouvoirs (fédéral, régional, communautaire, provincial, communal) et elle est divisée en secteurs cloisonnés. Elle est mise en oeuvre par une multitude d’acteurs publics ou privés, par des travailleurs présentant des formations et des fonctions très diverses.