« Femmes sans abri : pourquoi elles se masculinisent »

Une opinion d’Ariane Dierickx, directrice de la maison d’accueil L’Ilot asbl publiée sur levif.be le 08/03/17.


8 mars, un jour par an pour rendre compte des avancées en matière de droits des femmes, mais surtout pour pointer du doigt et dénoncer les trop nombreuses inégalités et injustices qui persistent de par le monde, en ce compris en Belgique.

4156685.jpgOn a pour habitude, à cette occasion, de mettre à l’honneur des femmes qui se sont distinguées dans de nombreux domaines et métiers, en particulier ceux dits « masculins ». Plus rarement, on s’attarde sur les non-droits de celles vivant dans l’extrême précarité. Car on le sait, la pauvreté touche plus gravement les femmes que les hommes, les chiffres sont là pour l’attester et ils ne s’améliorent guère. Ces quelques dernières années, les données genrées indiquent même une aggravation de la précarisation des femmes. Et pour celles qui ont tout perdu, jusqu’à la sécurité d’un toit, être une femme veut souvent dire renoncer à être femme.

Lire l’article dans son intégralité sur le site du Vif

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