Qui a peur de l’associatif musulman?

Alter Echos consacre un dossier sur la question. Accessible en ligne, ce panorama sur l’associatif musulman à Bruxelles relève, entre autres, le peu de soutien des pouvoirs publics à leur égard. « Déconnexion? Méconnaissance? Méfiance réciproque? », interroge l’auteur, Cédric Vallet.


Bruxelles abrite une mosaïque d’associations musulmanes. Un «secteur» éparpillé qui fonctionne, à de rares exceptions près, sans l’aide de subventions publiques. Des voix s’élèvent pour professionnaliser le secteur. Elles dénoncent l’attitude de pouvoirs subsidiants tétanisés par la crainte du communautarisme et du fondamentalisme. À tort?

Non loin de la gare du Midi, à Bruxelles, côté Anderlecht, on trouve l’espace Poincaré. Un vaste bâtiment – 2.500 mètres carrés – qui abrite une petite quinzaine d’associations musulmanes de la capitale. «C’est un lieu ouvert sur la société qui montre le dynamisme de la composante musulmane. Le lieu est agréable et équipé, afin de donner une image positive des musulmans, de sortir de la ghettoïsation de l’action sociale», explique Mohamed Ben Abdellah, le directeur du lieu.

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